Serge Guglielmi présente la cellule sociale du RGS

« Au XXIe siècle, un club ne se doit-il pas de transmettre aux jeunes des valeurs éducatives, qui prennent en compte la dimension humaine et sociale de l’enfant. N’est-il pas dans sa mission de diversifier son activité pour rester en prise avec l’évolution et la réalité de la société qui est la nôtre ».
Le football est un vecteur d’intégration capable de recréer un lien social et non de conflit

– Il peut constituer une première étape dans une démarche individuelle d’insertion, de formation et de professionnalisation
– Il est source d’épanouissement, et de bien être
– Il doit permettre la pratique de l’éducation physique et sportive
– Il doit permettre la lutte contre toutes les formes de discrimination, dont le racisme
– Il est un outil de socialisation du développement de la fonction éducative et social du sport

1- la discrimination raciale :

Nous montrons grâce à une attitude positive et à un état d’esprit, l’intérêt que porte cette structure dans l’accueil de tous les enfants dans le but de « mieux vivre ensemble ».
Le football est un outil pour rassembler ces jeunes, pour répondre à leur attente « ils veulent être respectés » pour leur apprendre la tolérance, le respect, la rigueur intellectuelle (s’imposer des règles), protester contre les plaisanteries et les insultes racistes.
2- la discrimination pécuniaire :
Souvent exclus des pratiques en tout genre pour des raisons pécuniaires, certains jeunes n’ont pas accès à l’insertion et l’épanouissement par le biais du sport.
Le manque de moyens financiers ne doit pas constituer un obstacle à la pratique sportive, culturelle et artistique.
Comment envisageons-nous de lutter contre cette forme de discrimination ?
Intégrer dans notre action, tous les jeunes sans mesure sélective liée à l’argent.
Aider les enfants les plus démunis à trouver des financements et l’aide du club.
Accompagner et guider ces jeunes vers des structures sociales capables de les aider. Utiliser les moyens connus et existants pour faire face à l’exigence financière d’une activité.

3- la discrimination sexuelle :
Comment envisageons-nous de lutter contre cette forme de discrimination ?
Intégrer dans notre action, les filles et les associer aux garçons dans toutes les séquences éducatives et pédagogiques.
Apprendre aux garçons à respecter les filles, à les considérer comme des êtres à part entière.
4- la discrimination sur l’apparence :
Comment envisageons-nous de lutter contre cette forme de discrimination ?
Mettre le jeune en sécurité avec un sentiment de bienvenu quel que soit son âge, son sexe. Lui donner la possibilité d’acquérir une habilité et une souplesse physique et, d’appartenir à un groupe sportif dont il tire des satisfactions.

Faire en sorte que les jeunes se sentent importants dans la structure mise en place et que l’on reconnaisse leur réussite, leurs progrès.
Un service de médiation sociale, de gestion de problèmes éventuels est mis en place

 

LUTTER CONTRE TOUTE LES FORME D’INCIVILITES
en proposant un cadre et des règles acceptées par le licencié.
en lui faisant respecter ces mêmes règles.
en étant intransigeant avec ceux qui dépasseraient le cadre ou les règles.
en étant en communication avec les organismes sociaux de la ville.
en étant à l’écoute des licenciés et des parents.
en proposant une médiation de conflit entre tous les membres du club
en proposant une recherche de résolution d’un problème

Nous pourrons dans l’avenir proposer un partenariat avec certaines instances communales afin d’affinité notre aide à la personne ( CPAS, agent de quartier, Forem, SAJ……)

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En savoir plus ?

Les questions abordées ici vous touchent vous ou votre enfant ? Contactez Serge sans attendre: 0495 31 84 83 rafj@rgs69.be

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